Luang Phor Hong Prompanyo

Luang Phor Hong est connu comme l’un des plus grands moines de cette époque actuelle pour sa connaissance à la fois dans le Dhamma et la Wicha (les arts surnaturels). Ses amulettes sont très réputées pour amener d’excellents résultats à ses porteurs, notamment par ses amulettes, Phra Khun Paen qui est parmi des plus efficaces en Thaïlande.

Le très Vénérable Luang Phor Hong Prompanyo du Wat Petchburi était le fils aîné de 8 frères et sœurs d’une famille nombreuse, dont ses parents étaient des agriculteurs de riz, il est né le 24 mars 1918, dans le district Thung Mon ทุ่งมน dans la province de Surin. Luang Phor Hong est décédé le 5 mars 2014.

À l’âge de 18 ans, il devint novice puis ordonné moine 2 ans plus tard à l’âge de 20 ans dans le temple même d’où il devint l’abbé principal, en 1973 au Wat Petchburi. Lors de son ordination, 3 grands maîtres de la région étaient présents, dont Luang Phor Pae, Luang Phor Chueng et Luang Phor Gad, c’est de là qu’il reçut son nom bouddhiste de « Prompanyo »

À ses débuts, 3 mois après que suivit son ordination, il partit faire Thudong dans la jungle du Cambodge durant de nombreuses années, il passa près de 30 années au Cambodge et aux alentours à la rencontre des grands maîtres pour apprendre l’art ancien de la Wicha khmère (magie) dont il reçut les enseignements des meilleurs maîtres cambodgiens.

Le très vénérable LP Hong était aussi connu pour sa grande gentillesse et compassion auprès des gens mais également envers les animaux tout particulièrement, puisqu’il connaissait certains langages. Il pouvait prendre dans chacune de ses mains un scorpion et un serpent venimeux sans aucun risque. Il a été dit que des phénomènes inhabituels comme la foudre et les orages ont également eu lieu lors des cérémonies de consécration tenue par LP Hong dans le passé, ce qui est le plus étonnant voire surprenant, c’est que pas une seule bougie ou bâton d’encens a été éteint pendant ses cérémonies, en dépit des orages violant.

Luang Phor Hong de son vivant, a garanti que ses amulettes n’étaient pas seulement sacrées, mais elles étaient surtout très efficaces et quiconque pouvait les porter et les tester.